Mes chers amis,
Je suis désolé, mais par un manque de temps ces derniers jours, je n'ai pas eu le temps de vous remercier de m'avoir choisit comme le candidat officiel du Grand Old Party. Toute ma vie j’ai rêvé d’être utile aux États-Unis, à mon pays, à ma patrie. Aujourd’hui vous venez de réaliser la première étape de ce rêve. Seule compte à cet instant l’espérance de la foule immense que vous formez, tendue vers un seul but : la victoire de l'Amérique.
Je veux être le Président d’une Amérique réunie.
Il n'y a pas deux Amériques, mais une seule et belle Amérique.
Je veux être le Président de tous les américains.
Je veux être le Président d’une Amérique qui aura compris que la création demain sera dans le mélange, dans l'ouverture, dans la rencontre. Qu’elle sera dans le croisement des regards, la fécondation réciproque des cultures, des techniques et des savoirs, qu’elle jaillira de la rencontre de l’artiste, du savant, de l’ingénieur, de l’entrepreneur, au croisement de la communication, de l’économie, des sciences, de toutes les formes d’art et de pensée, de travail, d’innovation.
Je veux être le président d’une Amérique qui incarnera l’audace, l’intelligence et la création.
Je veux être le président d’une Amérique qui ne s’enfermera pas dans son histoire pour échapper à l’avenir, qui ne sera pas un musée, mais qui saura s’adosser à son histoire pour s’élancer vers le futur.
Mes amis, la tâche est immense. Mais elle en vaut la peine.
Je demande à vous tous de comprendre que je ne serai pas que le candidat du GOP, qu’au moment même où vous m’avez choisi je dois me tourner vers tous les Américains, quels que soient leur parcours, qu’ils soient de droite ou de gauche, qu’ils vivent en Amérique ou à l’étranger. Que je dois les rassembler, que je dois les convaincre qu'ensemble tout peut devenir possible !
Tout peut devenir possible pour l'Amérique,
Tout peut devenir possible si vous le voulez,
Tout peut devenir possible si vous le décidez.
Que Dieu vous bénisse tous !
Et que Dieu bénisse les États-Unis d’Amérique !
Je suis désolé, mais par un manque de temps ces derniers jours, je n'ai pas eu le temps de vous remercier de m'avoir choisit comme le candidat officiel du Grand Old Party. Toute ma vie j’ai rêvé d’être utile aux États-Unis, à mon pays, à ma patrie. Aujourd’hui vous venez de réaliser la première étape de ce rêve. Seule compte à cet instant l’espérance de la foule immense que vous formez, tendue vers un seul but : la victoire de l'Amérique.
Je veux être le Président d’une Amérique réunie.
Il n'y a pas deux Amériques, mais une seule et belle Amérique.
Je veux être le Président de tous les américains.
Je veux être le Président d’une Amérique qui aura compris que la création demain sera dans le mélange, dans l'ouverture, dans la rencontre. Qu’elle sera dans le croisement des regards, la fécondation réciproque des cultures, des techniques et des savoirs, qu’elle jaillira de la rencontre de l’artiste, du savant, de l’ingénieur, de l’entrepreneur, au croisement de la communication, de l’économie, des sciences, de toutes les formes d’art et de pensée, de travail, d’innovation.
Je veux être le président d’une Amérique qui incarnera l’audace, l’intelligence et la création.
Je veux être le président d’une Amérique qui ne s’enfermera pas dans son histoire pour échapper à l’avenir, qui ne sera pas un musée, mais qui saura s’adosser à son histoire pour s’élancer vers le futur.
Mes amis, la tâche est immense. Mais elle en vaut la peine.
Je demande à vous tous de comprendre que je ne serai pas que le candidat du GOP, qu’au moment même où vous m’avez choisi je dois me tourner vers tous les Américains, quels que soient leur parcours, qu’ils soient de droite ou de gauche, qu’ils vivent en Amérique ou à l’étranger. Que je dois les rassembler, que je dois les convaincre qu'ensemble tout peut devenir possible !
Tout peut devenir possible pour l'Amérique,
Tout peut devenir possible si vous le voulez,
Tout peut devenir possible si vous le décidez.
Que Dieu vous bénisse tous !
Et que Dieu bénisse les États-Unis d’Amérique !
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